È stata la mano di Dio
Paolo Sorrentino, Italie, 2021o
Naples dans les années 80. Fabietto Schisa, adolescent mal dans sa peau, vit avec sa famille excentrique et haute en couleurs. Mais son quotidien est soudain bouleversé lorsque Diego Maradona, légende planétaire du football, débarque à Naples et le sauve miraculeusement d’un terrible accident. Cette rencontre inattendue avec la star du ballon rond sera déterminante pour l’avenir du jeune homme. Avec La Main de Dieu, Sorrentino revient dans sa ville natale pour réaliser son film le plus personnel, qui mêle le destin et la famille, le sport et le cinéma, l’amour et les illusions perdues.
En faisant basculer son film de la chronique familiale, mordante et chaleureuse, vers la mélancolie d’une errance dans Naples sublimée, le réalisateur de la Grande Bellezza nous donne à éprouver sa blessure, le sentiment de perte et la solitude qui ont conditionné sa sensibilité d’artiste. Son plus beau film.
Nicolas SchallerLe réalisateur de La Grande Bellezza se souvient de sa jeunesse à Naples dans les années 1980. Et signe son film le plus personnel et le plus émouvant.
Etienne SorinPaolo Sorrentino fait l’Amarcord du Naples de son enfance et parvient à faire du Fellini tout en faisant sa chose à lui.
Jan LumholdtPaolo Sorrentinos neunter Film ist sein persönlichster. Fabietto könnte genauso gut Paolo heissen: Eine Familientragödie hat auch Sorrentino selber erfahren. Und sein Leben und seine Karriere, möchte man fast sagen, hat der Regisseur von «La grande bellezza» und «Youth» keinem Geringeren als Maradona zu verdanken.
Andreas Scheiner